Un peu de retard dans la publication, mais ici rien n'est simple et l’accès à internet n'est pas évident ! Comme dit dans le précédent article, la situation n'est pas très stable, des manifs, de tous bords, commencent à avoir lieu dans les villes. Nous avons été bloqué pour accéder à Ciudad Guayana. Donc après avoir fait un peu de côte nous avons décidé de descendre au sud et sortir du pays pour éviter de s'y retrouver bloqué. Pour plus d'informations VOIR ICI. Dommage car nous avions prévue de visiter plus en profondeur ce pays, d'autant que le carburant est donné, 0,50 cts € le plein si on compte au change officiel, et 10 fois moins au change parallèle !!! En plus les péages routiers ont été supprimé pour les véhicules légers. Nous avons fait une petite halte prés de Caracas pour rencontrer l'ambassadeur du Guyana et solliciter l'autorisation d'entrée du véhicule.…
Nous sommes déjà à notre douzième passage de frontière ! Ce n'a pas été le plus facile car côté Vénézuela il y a de longues files d'attentes, tant au guichet qu'ensuite en voiture pour passer le contrôle. De plus l'enregistrement du véhicule se fait plusieurs kilomètres après le poste frontière et là aussi attente d'un agent disponible. Mais du point de vue administratif beaucoup plus simple que ce que l'on nous avez annoncé. La première approche du pays est assez mitigé, il faut rester vigilant sur les vols et les endroits de bivouacs, dixit la population et certains policiers. Beaucoup de contrôle de police le long des routes, évidement comme il ne connaissent pas le concept de cellule, nous avons droit, quasiment à chaque fois, à la question que transportez-vous, on peut voir. Même si des fois c'est un peu lourd en fin de journée il faut reconnaître que c'est toujours…