Une belle côte sur le Pacifique parsemée de nombreux petits villages adossée à des collines rocheuses avec une végétation basse et sèches. Qui fait l’objet d’un parc de protection de la forêt tropicale sèche, le parc national de Machalilla. C’est dans ce parc que se trouve la plus belle plage de l’Équateur d’après les guides et les locaux.
Nous n’aurons pas pu la voir car l’entrée du parc est interdite aux animaux, même en les laissant dans la voiture ou la cellule… Dommage !
Ce littoral reste encore essentiellement tourné vers la pèche comme source de revenus. Elle commence à s’ouvrir au tourisme mais de manière artisanale car peu d’aménagement. Hormis quelques petites villes, le bétonnage engendré par le tourisme de masse n’est pas encore vraiment en route mais, à voir les projets affichés, malheureusement, cela ne devrait pas trop tarder.
La pèche est essentiellement artisanale et source d’activité intense sur la plage lors du retour des bateaux. Les produits sont soit chargés directement dans les camionnettes pour la distribution soit découpés et transformés en filet directement sur place.
Nous avons fait une halte à Manta, la 7° ville la plus peuplé du pays. C’est aussi le premier port de pêche du pays. Le port accueille également quelques navires de croisières.
Une ville assez animée dans sa partie centrale et le long du front de mer avec un malécon, lieux de promenade de nombreux habitants qui viennent se délasser le soir en famille. D’autant qu’en cette période de fêtes de nombreux vendeurs d’artisanat s’installent en fin de soirée.
Nous avons pu profiter de cet endroit grâce à un bivouac autorisé directement sur la plage en toute sécurité. Par contre un peu bruyant en début de nuit et réveil en fanfare le matin par les cours de fitness collectifs en musique.
En remontant sur Quito nous avons fait un petit passage dans la ville de Montecristi, la capitale incontestable du fameux chapeau « le Panama » qui comme sont nom ne l’indique pas est exclusivement fabriqué en Équateur. Sa fabrication est exclusivement artisanale, il est tissé à la main à partir de la fibre de palmier qui ne pousse que sur cette partie de côte. Bien que Cunca, ville plus au centre est aussi un lieu de fabrication, un peu plus industrialisée et plus tournée vers l’exportation, la fibre provient toujours de la côte.
Il est tissé selon les méthodes ancestrales, adaptées par les colons espagnols à leur propres formes de chapeaux. Le tissage, selon le degré de finesse peut demander plusieurs mois de travail et le prix peut atteindre les 2 à 3000 €. Mais il y en a pour toutes les bourses. Hélas comme nous sommes passé un jour férié nous n’avons pas pu voir le tissage.
Les photos de cette partie de côte sont ICI
Avec la nouvelle année quelques nouveaux défis suite à des soucis mécanique. Un problème connu sur ce genre de véhicule, dont je pensais avoir été exempté car mis en circulation après la date des modifications du constructeur. Il s’avère que la date de mise en circulation est bien postérieure à celle de fabrication, donc je tombe dans la série qui souffrais du problème de 5° vitesse qui saute, suite à défaut de conception et mauvais graissage du roulement..
Le défi va être de trouver les pièces car malgré la présence de nombreux BT50 en Équateur, les modèles sont différent (essence ou diésel avec groupes propulseurs différents).
J’ai pris des contact avec Mazda Colombie qui peut fournir une bonne partie des pièces. Nous avons donc décidé d’écourter le passage en Équateur pour aller faire réparer en Colombie. Il est possible rouler comme ça en 4° mais il y a quand même certains risque pour les autres éléments de boite à vitesse.
Jacques
Merci pour les news bon courage pour les ennuis mécaniques mais échappez vous vite L’Equateur
Amicalement
Bonne année 2024 et courage pour la mécanique.
Bises à vous deux
Merci.
Bonne année à vous aussi.
Bises à vous de nous deux.
Bonjour Raymond et Paulette
bon courage pour la boite….
Jackie et moi vous souhaitons une très belle Année sous le ciel équatorien
bonne route
biz de nous deux
Henri
Merci.
On devrait y arriver.
Bises à vous
Bonne année à tous les deux. Nous espérons que les ennuis mécaniques pourront être bientôt réglés et que nous continuerons avec vous ce beau voyage.
Nicole et Claude.
Merci,
On devrait y arriver, la solution semble être de passer en Colombie car ils ont quelques pièces dispo. On va voir ça d’ici quelques jours.
Amitiés.